Je suis divorcée et fatiguée
J’avais vingt-cinq ans et j’épousais l’homme de ma vie. Nous étions jeunes, nous étions amoureux, et l’aveuglement de l’amour et de l’espoir qui l’accompagne toujours nous amène à fermer les yeux sur certaines failles. On se dit qu’on arrivera à changer l’autre et qu’au nom de l’amour, ces failles se fermeront naturellement. Tout à mes espoirs, je n’ai pas vu les nuages de malheur qui s’amoncelaient au-dessus de nos têtes.